Langue
Japon
Exploitation sexuelle des enfants
Aiki Matsukura (elle) s’est activement engagée dans le bénévolat depuis le lycée. En tant que jeune membre de Free the Children Japan, Aiki et ses amis ont collecté des fonds pendant deux ans et ont fait don d’une bibliothèque pour les enfants vivant dans la pauvreté en Mongolie. Aiki a continué à soutenir le fonctionnement de la structure pendant cinq ans. Son activité bénévole a été reconnue par Soroptimist International et elle a reçu le Violet Richardson Award en 2009.
Pendant ses études à l’Université Soka d’Amérique aux États-Unis, Aiki a participé à un projet d’enquête de terrain sur la microfinance au Panama et sur les droits de l’enfant et l’éducation en Indonésie. Son mémoire de fin d’études portait sur « Une analyse de la traite historique et contemporaine des êtres humains à des fins sexuelles au Japon ».
En 2010, Aiki a assisté au tout premier Sommet G(irls) 20 qui s’est tenu à Toronto en tant que déléguée du Japon. En 2013, elle a obtenu sa licence en arts libéraux avec une spécialisation en études internationales. Depuis 2014, Aiki travaille pour une ONG japonaise soutenant les victimes de la traite sexuelle, “Lighthouse : Centre pour les victimes de la traite des êtres humains” pendant près de 8 ans. Elle a joué divers rôles au sein de l’organisation. En tant que responsable des relations publiques, elle était chargée des campagnes de sensibilisation, donnait des conférences dans les écoles et les entreprises, et s’exprimait dans les médias sur cette question. Elle a également répondu aux appels et aux emails sur la ligne d’assistance téléphonique et a apporté un soutien direct aux personnes survivantes. Aiki s’est engagée à réaliser un monde où les droits de chaque enfant sont respectés.
“La raison pour laquelle je suis devenue éducatrice aux droits humains est que je souhaite ardemment créer une société où personne ne vit dans la crainte de subir une quelconque forme de violence.”
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Cet outil éducatif multimédia est co-publié par les Nations Unies (HCDH), Amnesty International et Soka Gakkai International.